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Familles…
» Au Nord, c’étaient les corons « …
Sophie Chauveau raconte avec passion, et davantage, l’histoire de sa famille, d’un côté les modestes, qui descendaient dans la mine, travaillaient dur et y laissaient prématurément leur santé, et de l’autre, les dirigeants, vivant dans le confort. Liaisons, alliances, divergences, trahisons… avant les nationalisations.
Elle est issue de ces deux mondes et c’est Laurence Cossé qui l’a incitée à raconter son histoire, comme un roman lié à la grande Histoire.
Sophie Chauveau a déjà beaucoup publié chez divers éditeurs, dont des biographies, Léonard de Vinci, Diderot, Fragonard ( chez Folio ).
( J’ai été un peu submergée par les multiples épisodes en 395 pages, qui se terminent sur ce qu’elle appelle » la joie sauvage de mai 68 « .
Certes, j’ai appris sur la vie personnelle et familiale des mineurs, ce que je cherchais – mais à travers son prisme personnel ).
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